jeudi 6 décembre 2012
La Justice serre la vis aux petits délinquants
Le procureur général, Olivier Jornot, vient de revoir à la hausse les sanctions concernant les dealers: «Depuis le 1er décembre, j’ai décidé de durcir les barèmes, mais de le faire avec mesure. Il ne sert à rien d’édicter des sanctions qui se heurtent à la pratique des tribunaux.»
On se souvient de la polémique qu’avait suscitée il y a plus d’un an la directive clémente de Daniel Zappelli concernant ces mêmes dealers. Une clémence qui contrastait avec le discours guerrier du magistrat vis-à-vis de ce type de criminalité. Si son successeur, Olivier Jornot, estime en effet que le tarif était jusqu’ici «trop généreux par rapport à la situation que Genève connaît en matière de stupéfiants», il considère également que «les critiques avaient été trop dures à l’époque». Et de préciser: «Moi-même, je n’ai pas quadruplé les sanctions.»
Diminuer les dealers
Il n’empêche que le nouveau procureur général revoit le seuil des sanctions à la hausse. Même pour les quantités minimes, il double le tarif, on passe d’un à deux mois de prison (voir l’infographie). Pour celui qui agit ainsi pour la première fois, ce sera 60 jours-amende avec sursis. «Là, nous sommes corsetés par le mécanisme fédéral du Code pénal.» Mais en cas de récidive, «nous ne sommes plus tenus par la problématique des jours-amende, nous pouvons infliger des peines privatives de liberté ferme».
Les «mules», autrement dit les transporteurs de drogue, font également l’objet de nouvelles directives internes au Ministère public: «Le transport des stupéfiants s’est professionnalisé, explique Olivier Jornot. Prenez le cas de ceux qui ingèrent la drogue, ceux qu’on appelle les body packs. Si vous voyez ce qu’ils doivent avaler, ce n’est pas à la portée de tout le monde, il faut une forme d’entraînement. Les enquêtes montrent que ces personnes sont plus proches de l’organisation criminelle que les pauvres gens qu’on pouvait nous envoyer dans le passé.» Pour ces «mules», les sanctions peuvent aller jusqu’à quatre ans de prison pour le transport de 1500 grammes de cocaïne ou d’héroïne. Et les peines sont plus sévères en cas de transport international.
Toutes ces sanctions seront-elles dissuasives? «C’est une question de grande philosophie, répond le magistrat. La lutte contre le trafic d’héroïne est aujourd’hui très intense, notamment dans le cadre de l’opération policière Hydra, c’est quelque chose qui fonctionne. Dans le domaine de la cocaïne, l’effort est à intensifier. Le durcissement des barèmes pour les petites quantités est susceptible d’avoir un effet sur la présence des dealers dans les quartiers. Il est plus fréquent de trouver un revendeur de cocaïne avec de toutes petites quantités qu’un revendeur d’héroïne.»
L’autre nouvelle directive d’Olivier Jornot concerne les multirécidivistes. Elle est en vigueur depuis le mois d’octobre. «Très clairement cette directive a une vocation d’augmentation de la répression dans ce domaine.»
De quoi s’agit-il? De ces «zizous» qui multiplient les petits délits et qui s’en sortent chaque fois avec de peines légères d’un ou deux mois. «Maintenant, on a une véritable progression des sanctions. A la première récidive, ils écoperont de peines ferme de deux à quatre mois. A la deuxième récidive, ce sera six mois de prison, le maximum que peut infliger un procureur par voie d’ordonnance pénale sans passer par un tribunal.»
Six mois ferme
Qu’est-ce qui permet au procureur général d’infliger des peines plus lourdes pour ces petits délits? L’utilisation de la Loi sur les étrangers. Plus exactement le cumul entre la sanction concernant cette infraction (la plupart de ces multirécidivistes se trouvent en situation irrégulière en Suisse) et un petit vol par exemple, ce qui permet de se montrer plus sévère. Une astuce juridique? «Plutôt que le terme astuce, je dirais que nous utilisons tous les moyens légaux, y compris la Loi sur les étrangers, pour lutter contre la délinquance.»
Ces nouvelles directives risquent de conduire à une hausse des arrestations. Comment la prison déjà surchargée va-t-elle accueillir ces personnes? La question doit être réglée par les autorités politiques, estime Olivier Jornot: «Les délinquants multirécidivistes sans titre de séjour sont un des phénomènes contre lesquels j’entends lutter et je ne vais pas les laisser dans la rue parce que Champ-Dollon est surpeuplée.»
Tribune de Genève
mardi 30 octobre 2012
Une cinquième station-service braquée à Thônex
La série noire se poursuit. Lundi peu avant 21 heures, la station BP de la route Blanche a été attaquée par deux hommes. Selon le site tdg.ch, les malfrats se sont fait remettre le contenu de la caisse en menaçant l'employé avec une arme à feu. Ils ont ensuite pris la fuite à pied en direction de la France, toute proche.
Il s'agit du cinquième braquage de station-service dans la commune frontalière de Thônex depuis le mois de juillet. Le commerce Tamoil de la route d'Ambilly, situé à quelques mètres de la douane de la Pierre-à-Bochet, a été attaqué début juillet et lundi dernier. La station BP de la route Blanche, elle, avait une première fois été victime de malfrats fin septembre. Enfin, début août, le shop Shell de la route d'Ambilly vivait la même mésaventure.
Depuis le début de l'année 2012, dix stations-services ont été victimes d'un braquage.
Il s'agit du cinquième braquage de station-service dans la commune frontalière de Thônex depuis le mois de juillet. Le commerce Tamoil de la route d'Ambilly, situé à quelques mètres de la douane de la Pierre-à-Bochet, a été attaqué début juillet et lundi dernier. La station BP de la route Blanche, elle, avait une première fois été victime de malfrats fin septembre. Enfin, début août, le shop Shell de la route d'Ambilly vivait la même mésaventure.
Depuis le début de l'année 2012, dix stations-services ont été victimes d'un braquage.
lundi 22 octobre 2012
Nouveau braquage d'une station-service à Thônex
Ce lundi, peu avant 8 heures, la station service Tamoil à Thônex, à deux pas de la frontière franco-genevoise, a été braquée par trois individus, et non quatre comme l'affirmait lematin.ch. Les malfrats armés sont repartis à pied une fois leur forfait commis. Personne n’aurait été blessé. Le butin n'est pas connu pour l'instant. Aussitôt fermée, la station, située à la route d'Ambilly, l'est restée durant la journée. Au carrefour entre la route de Jussy et celle d'Ambilly, deux autres stations d'essence. Personne n'est au courant de l'événement matinal, tout au plus un employé de l'une d'elles se plaint-il des gens qui font le plein d'essence sans payer. Mais une telle mésaventure ne lui est pas arrivée.
Cette station service est très régulièrement la cible de braquages. La dernière en date avait été commise début juillet. Il s'agirait du deuxième braquage depuis le début de l'année.
Cette station service est très régulièrement la cible de braquages. La dernière en date avait été commise début juillet. Il s'agirait du deuxième braquage depuis le début de l'année.
mardi 2 octobre 2012
Une station-service attaquée à la clé à molette
La station-service Shell sur la route de St-Julien à Perly a subi une attaque lundi soir vers 21h30. L'homme, «non armé» selon la police genevoise, a menacé l'employé avant de s'enfuir avec la recette. Plusieurs patrouilles ont été déployées et l'alarme transfrontalière activée. Le voleur n'a pour l'heure pas été arrêté. L'agresseur a utilisé une clé à molette pour se faire remettre le contenu de la caisse. «Il faut donc relativiser le professionnalisme de l'assaillant», interprète une source proche du dossier. La police judiciaire est en charge de l'enquête.
Sur place, on se heurte au mutisme. Un employé de la station Shell rencontré ce mardi matin nie toute attaque, avant de parler d'un «incident technique» survenu la nuit dernière. Sourire gêné, il reconnaît ne pas être autorisé à s'exprimer. A l'intérieur de l'échoppe, rien ne suggère les événements de la veille. Deux caméras de surveillance fixent la caisse et enregistrent faits et gestes de la clientèle. Dehors, les véhicules s'encolonnent en attente d'une pompe libre.
Le commerce volé est situé à quelque 300 mètres de la frontière, une zone où les stations-service pullulent. «Il ne se passe pas deux mois sans que l'un d'entre nous ne connaisse un vol ou un braquage, témoigne un pompiste. Ici, nous avons subi six attaques en 2011, zéro cette année», poursuit l'employé en faisant mine de toucher du bois.
lundi 1 octobre 2012
L'employé de la police genevoise cambriolait
La police genevoise a arrêté mardi dernier un cambrioleur. Banal? Sauf que l'interpellé en question est un fonctionnaire de police. L'homme, employé administratif depuis plusieurs années au sein de l'institution, a été prévenu de vols.
La première affaire se déroule en juin. Le Genevois a subtilisé l'argent d'un distributeur de boissons situés dans les locaux administratifs du quartier de la Jonction, vraisemblablement à l'Hôtel de police, boulevard Carl-Vogt.
Le 1er juillet, le fonctionnaire de police passe à l'échelon supérieur. Il a cambriolé un bar des Pâquis où il avait ses habitudes. Montant du butin: 5000 francs. Suite aux relevés de traces, les enquêteurs relient les deux affaires: il s'agit du même auteur. Le fonctionnaire aurait laissé ses empreintes sur les lieux du cambriolage. Un comble pour un collaborateur de la police chargé des prélèvements ADN et des empreintes récoltées notamment sur des cambriolages.
Arrêté à son domicile, le Genevois a reconnu les faits. Si l'homme n'est pas policier, il reste soumis à la loi sur la police. Il a expliqué avoir volé par besoin de liquidités. Le procureur général l'a placé en détention provisoire.
La première affaire se déroule en juin. Le Genevois a subtilisé l'argent d'un distributeur de boissons situés dans les locaux administratifs du quartier de la Jonction, vraisemblablement à l'Hôtel de police, boulevard Carl-Vogt.
Le 1er juillet, le fonctionnaire de police passe à l'échelon supérieur. Il a cambriolé un bar des Pâquis où il avait ses habitudes. Montant du butin: 5000 francs. Suite aux relevés de traces, les enquêteurs relient les deux affaires: il s'agit du même auteur. Le fonctionnaire aurait laissé ses empreintes sur les lieux du cambriolage. Un comble pour un collaborateur de la police chargé des prélèvements ADN et des empreintes récoltées notamment sur des cambriolages.
Arrêté à son domicile, le Genevois a reconnu les faits. Si l'homme n'est pas policier, il reste soumis à la loi sur la police. Il a expliqué avoir volé par besoin de liquidités. Le procureur général l'a placé en détention provisoire.
mardi 7 août 2012
Nouveau braquage près de la frontière Genevoise
Trois individus capuchés, tout de noir vêtus, ont attaqué mardi matin vers 6h la station d'essence Tamoil, située sur la route de Thonon, à Anières, à deux pas de la frontière française. Selon lematin.ch, ils ont braqué le responsable du lieu et une employée. La police genevoise indique que l'un des malfrats était muni d'une arme de poing. Les trois individus sont partis avec la caisse malgré le déclenchement de l'alarme transfrontalière. Il s'agit du cinquième hold-up en six mois dans la région.
mardi 10 juillet 2012
Un braqueur prend femme et enfant en otage
Un adolescent de 17 ans a braqué une pharmacie de la Jonction avant de car-jacker une auto avec une femme et son enfant à bord, mardi en début d'après-midi.
Une scène digne des films de Hollywood s'est jouée mardi peu avant 13 heures au centre-ville de Genève. Un individu armé a braqué une pharmacie de la rue des Deux-Ponts à la Jonction. Pour s'enfuir, il a procédé à un car-jacking sur une voiture dans laquelle se trouvaient une femme accompagnée de son jeune enfant.
Blessé par balle au ventre
Après avoir quitté la pharmacie où il s'est emparé d'une somme encore indéterminée, le brigand, âgé de 17 ans, a remonté à pied le boulevard Carl-Vogt. C'est devant l'ancien Hôtel de police que le malfrat, armé et masqué avec un tissu blanc, attire l'attention d'un agent. Au même moment, il sort un homme de l'habitacle d'une Honda et prend en otage la passagère et le bébé assis derrière. «Le braqueur s'est alors retourné avec son pistolet en direction de notre collègue, explique le porte-parole de la police genevoise, Patrick Pulh. Le policier a alors fait usage de son arme mais sans pouvoir arrêter le malfrat.» Ce dernier est tout de même atteint par une balle au niveau du ventre. Le pistolet de l'ado braqueur s'avèrera factice, comme l'indique la police dans son communiqué.
«Nous avons cru à un accident»
Le véhicule démarre en trombe, mais ne fera pas long chemin. Arrivé au carrefour de la Jonction, le véhicule du brigand monte sur un terre-plein et percute un scooter et une Harley-Davidson parquées. Devant des témoins médusés. «Ça s’est passé tellement vite, raconte l'un d'entre eux. J’ai vu la voiture débouler à 80 ou 100km/h.»
Le véhicule s'immobilise, la Harley encastrée sur son côté. Présents à ce moment, Joaquim et d'autres passants en sortent les trois occupants. Le temps pour les policiers d'arriver et de mettre fin à cet incroyable braquage. «Nous avons cru à un accident, témoigne Joaquim. J'ai sorti le type de la voiture, il était mal en point. Puis, un policier m'a dit qu'il avait une arme».
Selon la police, personne n'a été blessé hormis le braqueur, qui a été interpellé. Son pronostic vital n'est pas engagé. Sains et saufs, la femme et son bébé ont, eux, été pris en charge par les secours.
Une scène digne des films de Hollywood s'est jouée mardi peu avant 13 heures au centre-ville de Genève. Un individu armé a braqué une pharmacie de la rue des Deux-Ponts à la Jonction. Pour s'enfuir, il a procédé à un car-jacking sur une voiture dans laquelle se trouvaient une femme accompagnée de son jeune enfant.
Blessé par balle au ventre
Après avoir quitté la pharmacie où il s'est emparé d'une somme encore indéterminée, le brigand, âgé de 17 ans, a remonté à pied le boulevard Carl-Vogt. C'est devant l'ancien Hôtel de police que le malfrat, armé et masqué avec un tissu blanc, attire l'attention d'un agent. Au même moment, il sort un homme de l'habitacle d'une Honda et prend en otage la passagère et le bébé assis derrière. «Le braqueur s'est alors retourné avec son pistolet en direction de notre collègue, explique le porte-parole de la police genevoise, Patrick Pulh. Le policier a alors fait usage de son arme mais sans pouvoir arrêter le malfrat.» Ce dernier est tout de même atteint par une balle au niveau du ventre. Le pistolet de l'ado braqueur s'avèrera factice, comme l'indique la police dans son communiqué.
«Nous avons cru à un accident»
Le véhicule démarre en trombe, mais ne fera pas long chemin. Arrivé au carrefour de la Jonction, le véhicule du brigand monte sur un terre-plein et percute un scooter et une Harley-Davidson parquées. Devant des témoins médusés. «Ça s’est passé tellement vite, raconte l'un d'entre eux. J’ai vu la voiture débouler à 80 ou 100km/h.»
Le véhicule s'immobilise, la Harley encastrée sur son côté. Présents à ce moment, Joaquim et d'autres passants en sortent les trois occupants. Le temps pour les policiers d'arriver et de mettre fin à cet incroyable braquage. «Nous avons cru à un accident, témoigne Joaquim. J'ai sorti le type de la voiture, il était mal en point. Puis, un policier m'a dit qu'il avait une arme».
Selon la police, personne n'a été blessé hormis le braqueur, qui a été interpellé. Son pronostic vital n'est pas engagé. Sains et saufs, la femme et son bébé ont, eux, été pris en charge par les secours.
mercredi 27 juin 2012
Pierre Maudet élu au Grand Conseil
dimanche 26 février 2012
Les clandestins gonflent la délinquance à Genève
Selon des chiffres inédits de la police cantonale, 300 à 400 clandestins maghrébins sont responsables de plus de 6000 délits durant ces quatre dernières années à Genève.
Les clandestins maghrébins font exploser les statistiques de la délinquance à Genève, relève la TSR sur son site tsrinfo.ch. Selon des chiffres qu'elle a obtenu de la police cantonale genevoise, 300 à 400 jeunes clandestins d'Afrique du Nord sont responsables de 6217 délits de janvier 2008 à décembre 2011, soit en une trentaine en moyenne par semaine. Ces actes représentent plus de 16% des délits totaux sur ces 4 dernières années.
Les statistiques de la police attribuent encore aux clandestins 1424 dommages à la propriété (sur 10'289 cas au total) et 1237 violations de domicile (sur 7699 au total).
Ces délinquants qui refusent souvent de communiquer leur pays d'origine, seraient en majorité algériens, note la police.
Les clandestins maghrébins font exploser les statistiques de la délinquance à Genève, relève la TSR sur son site tsrinfo.ch. Selon des chiffres qu'elle a obtenu de la police cantonale genevoise, 300 à 400 jeunes clandestins d'Afrique du Nord sont responsables de 6217 délits de janvier 2008 à décembre 2011, soit en une trentaine en moyenne par semaine. Ces actes représentent plus de 16% des délits totaux sur ces 4 dernières années.
Les statistiques de la police attribuent encore aux clandestins 1424 dommages à la propriété (sur 10'289 cas au total) et 1237 violations de domicile (sur 7699 au total).
Ces délinquants qui refusent souvent de communiquer leur pays d'origine, seraient en majorité algériens, note la police.
jeudi 23 février 2012
Un suspect arrêté avec les clés de la retraitée agressée
Un suspect arrêté avec les clés de la retraitée agressée.
Violent, cruel et cupide. A en croire les premiers éléments de l’enquête, c’est ainsi qu’apparaît l’homme ayant agressé, torturé et séquestré une retraitée dans son appartement à Chêne-Bourg samedi soir. Selon les premiers éléments de l’enquête, dont la Tribune de Genève a pris connaissance, l’homme a frappé la victime à l’œil avant de l’attacher et de lui dérober ses cartes bancaires, ses bijoux et 10 000 francs. Après avoir été ligotée dans sa baignoire, l’aînée a entendu des rires dans une autre pièce, laissant penser que son agresseur n’était pas seul.
Quoi qu’il en soit, deux suspects, un Algérien et un Palestinien, ont été interpellés le soir même vers minuit aux Eaux-Vives à deux pas d’un bancomat UBS. Selon une source policière, un des prévenus avait sur lui les clés de la victime, l’autre cachait un billet de 1000 francs dans sa chaussure. Peu avant, à 23 h, les deux hommes avaient retiré 5000 francs sur le compte de la retraitée. La banque a visiblement mis les inspecteurs sur la piste des suspects.
Le calvaire de l’aînée a commencé vers 21 h samedi. Une personne sonne à sa porte. Elle regarde par le judas. Le corridor est dans l’obscurité. Elle n’aperçoit qu’une ombre et imagine qu’il s’agit d’un colporteur. «Je n’ai besoin de rien», dit-elle. Le malfrat prononce quelques mots qu’elle ne comprend pas. Mais il parvient ainsi à gagner la confiance de la locataire qui ouvre la porte. Il glisse aussitôt son pied dans l’appartement pour empêcher la retraitée de s’enfermer et d’appeler au secours.
Il s’agit d’un homme, de type maghrébin, mesurant entre 1,80 et 1,90 m, dira-t-elle aux enquêteurs. L’inconnu la traîne par les vêtements dans la chambre à coucher et la pousse sur son lit. Il la frappe au visage. Elle tombe sur le matelas, tente plusieurs fois de se relever, mais à chaque fois l’homme, armé d’un long couteau, la rejette sur son lit. Il la somme de se taire ou de parler moins fort et monte le volume de la TV pour couvrir les bruits. Il se met à fouiller l’appartement, s’empare des bijoux de la retraitée et de son argent. En la menaçant, il la somme de griffonner sur un papier le code des cartes bancaires. Il menace même de revenir se venger, avec plusieurs complices, si le code révélé est faux. Le voyou arrache ensuite une lanière d’un sac à main et lui attache les poignets. Il la conduit dans la baignoire, se saisit d’une écharpe et lui lie les pieds. Une fois son forfait accompli, l’homme s’enfuit. Avec un complice? L’enquête le confirmera. Il est passé 22 h: le voisin de la victime, qui a entendu des cris et qui s’étonne du volume excessif de la TV, se rend chez elle. Il lui porte secours puis alerte immédiatement la police.
Violent, cruel et cupide. A en croire les premiers éléments de l’enquête, c’est ainsi qu’apparaît l’homme ayant agressé, torturé et séquestré une retraitée dans son appartement à Chêne-Bourg samedi soir. Selon les premiers éléments de l’enquête, dont la Tribune de Genève a pris connaissance, l’homme a frappé la victime à l’œil avant de l’attacher et de lui dérober ses cartes bancaires, ses bijoux et 10 000 francs. Après avoir été ligotée dans sa baignoire, l’aînée a entendu des rires dans une autre pièce, laissant penser que son agresseur n’était pas seul.
Quoi qu’il en soit, deux suspects, un Algérien et un Palestinien, ont été interpellés le soir même vers minuit aux Eaux-Vives à deux pas d’un bancomat UBS. Selon une source policière, un des prévenus avait sur lui les clés de la victime, l’autre cachait un billet de 1000 francs dans sa chaussure. Peu avant, à 23 h, les deux hommes avaient retiré 5000 francs sur le compte de la retraitée. La banque a visiblement mis les inspecteurs sur la piste des suspects.
Le calvaire de l’aînée a commencé vers 21 h samedi. Une personne sonne à sa porte. Elle regarde par le judas. Le corridor est dans l’obscurité. Elle n’aperçoit qu’une ombre et imagine qu’il s’agit d’un colporteur. «Je n’ai besoin de rien», dit-elle. Le malfrat prononce quelques mots qu’elle ne comprend pas. Mais il parvient ainsi à gagner la confiance de la locataire qui ouvre la porte. Il glisse aussitôt son pied dans l’appartement pour empêcher la retraitée de s’enfermer et d’appeler au secours.
Il s’agit d’un homme, de type maghrébin, mesurant entre 1,80 et 1,90 m, dira-t-elle aux enquêteurs. L’inconnu la traîne par les vêtements dans la chambre à coucher et la pousse sur son lit. Il la frappe au visage. Elle tombe sur le matelas, tente plusieurs fois de se relever, mais à chaque fois l’homme, armé d’un long couteau, la rejette sur son lit. Il la somme de se taire ou de parler moins fort et monte le volume de la TV pour couvrir les bruits. Il se met à fouiller l’appartement, s’empare des bijoux de la retraitée et de son argent. En la menaçant, il la somme de griffonner sur un papier le code des cartes bancaires. Il menace même de revenir se venger, avec plusieurs complices, si le code révélé est faux. Le voyou arrache ensuite une lanière d’un sac à main et lui attache les poignets. Il la conduit dans la baignoire, se saisit d’une écharpe et lui lie les pieds. Une fois son forfait accompli, l’homme s’enfuit. Avec un complice? L’enquête le confirmera. Il est passé 22 h: le voisin de la victime, qui a entendu des cris et qui s’étonne du volume excessif de la TV, se rend chez elle. Il lui porte secours puis alerte immédiatement la police.
mardi 21 février 2012
Agressée devant sa maison à Chêne-Bougeries
Vingt-quatre heures après la sordide agression d'une septuagénaire, une femme a également été violentée dans le même secteur.
Nathalie, 46 ans, revenait d’une semaine de vacances en Autriche. «C’était une semaine antistress», raconte cette Suissesse d’origine anglaise. Pas de chance pour elle, à peine franchit-elle le portail de sa maison de Chêne-Bougeries, dimanche, qu’un individu l’agresse. Et tente de l’étrangler. «Il voulait ma peau», confie la quadragénaire, qui nous a reçus hier à son domicile pour évoquer le drame dévoilé sur le site Internet du Matin. Dimanche soir, Nathalie arrive chez elle vers 22 h 45. En taxi. Elle ne le sait pas encore, mais la veille, à quelques kilomètres de là, deux malfrats ont violemment agressé une femme de 79 ans. Nathalie paie le taxi et pénètre dans son jardin. Elle s’apprête à retrouver son mari, Gabriel, ses deux enfants et ses trois chiens.
La voiture de mon époux bloquait le passage pour accéder à la porte d’entrée. J’ai donc dû tirer ma valise sur le gazon. Ce n’était pas évident», confie-t-elle. Soudain, elle sent un bras autour de son cou.
Nathalie comprend rapidement qu’elle est victime d’un malfrat. «Il m’a tirée au sol. Violemment. J’étais dans mon jardin, à une quinzaine de mètres de ma maison. J’ai hurlé, mais je ne sais pas si ma famille m’a entendue.»
Pour étouffer les cris de la victime, l’agresseur plaque ses mains sur sa bouche. «Il m’a traînée sur cinq ou six mètres vers le portail. Je me suis dit: «Il veut ma peau, il veut me tuer.» J’ai senti qu’il m’a planté un truc dans le cou. Un couteau ou un cutter, je ne sais pas.»
Nathalie, 1,70 m pour 60 kilos, tente de se débattre. «Mais il continuait de me tirer. Il avait mis une espèce de corde autour de mon cou. Il voulait m’étrangler. Il me tirait aussi les cheveux. A force de m’agiter, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanouie. Mon agresseur a dû penser que j’étais morte.»
La quadragénaire rouvre les yeux quelques minutes plus tard. Son bouledogue est devant elle. Le malfrat, lui, a disparu. Sans rien voler. «Je me demande s’il ne voulait pas commettre un vol dans notre maison», raconte Nathalie, rappelant que sa voisine a été cambriolée à trois reprises et qu’au bout de la rue, un habitant a été victime d’un car-jacking. Tout comme Nathalie, les enquêteurs pencheraient pour la piste du cambriolage. L’agresseur se serait caché dans le cabanon du jardin, il avait dans la main le manche en bois d’un outil.
«Il m’a frappée à la tête avec cet outil, je pensais que c’était un bâton», dit Nathalie. A-t-elle vu son agresseur? «Oui, il n’avait pas le visage masqué. Il doit avoir entre 30 et 40 ans et était de type méditerranéen. J’ai essayé de lui parler, mais il ne m’a pas répondu. Je lui ai dit qu’il pouvait prendre tout ce qu’il voulait. Aucune réponse.»
Nathalie, 46 ans, revenait d’une semaine de vacances en Autriche. «C’était une semaine antistress», raconte cette Suissesse d’origine anglaise. Pas de chance pour elle, à peine franchit-elle le portail de sa maison de Chêne-Bougeries, dimanche, qu’un individu l’agresse. Et tente de l’étrangler. «Il voulait ma peau», confie la quadragénaire, qui nous a reçus hier à son domicile pour évoquer le drame dévoilé sur le site Internet du Matin. Dimanche soir, Nathalie arrive chez elle vers 22 h 45. En taxi. Elle ne le sait pas encore, mais la veille, à quelques kilomètres de là, deux malfrats ont violemment agressé une femme de 79 ans. Nathalie paie le taxi et pénètre dans son jardin. Elle s’apprête à retrouver son mari, Gabriel, ses deux enfants et ses trois chiens.
La voiture de mon époux bloquait le passage pour accéder à la porte d’entrée. J’ai donc dû tirer ma valise sur le gazon. Ce n’était pas évident», confie-t-elle. Soudain, elle sent un bras autour de son cou.
Nathalie comprend rapidement qu’elle est victime d’un malfrat. «Il m’a tirée au sol. Violemment. J’étais dans mon jardin, à une quinzaine de mètres de ma maison. J’ai hurlé, mais je ne sais pas si ma famille m’a entendue.»
Pour étouffer les cris de la victime, l’agresseur plaque ses mains sur sa bouche. «Il m’a traînée sur cinq ou six mètres vers le portail. Je me suis dit: «Il veut ma peau, il veut me tuer.» J’ai senti qu’il m’a planté un truc dans le cou. Un couteau ou un cutter, je ne sais pas.»
Nathalie, 1,70 m pour 60 kilos, tente de se débattre. «Mais il continuait de me tirer. Il avait mis une espèce de corde autour de mon cou. Il voulait m’étrangler. Il me tirait aussi les cheveux. A force de m’agiter, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanouie. Mon agresseur a dû penser que j’étais morte.»
La quadragénaire rouvre les yeux quelques minutes plus tard. Son bouledogue est devant elle. Le malfrat, lui, a disparu. Sans rien voler. «Je me demande s’il ne voulait pas commettre un vol dans notre maison», raconte Nathalie, rappelant que sa voisine a été cambriolée à trois reprises et qu’au bout de la rue, un habitant a été victime d’un car-jacking. Tout comme Nathalie, les enquêteurs pencheraient pour la piste du cambriolage. L’agresseur se serait caché dans le cabanon du jardin, il avait dans la main le manche en bois d’un outil.
«Il m’a frappée à la tête avec cet outil, je pensais que c’était un bâton», dit Nathalie. A-t-elle vu son agresseur? «Oui, il n’avait pas le visage masqué. Il doit avoir entre 30 et 40 ans et était de type méditerranéen. J’ai essayé de lui parler, mais il ne m’a pas répondu. Je lui ai dit qu’il pouvait prendre tout ce qu’il voulait. Aucune réponse.»
lundi 20 février 2012
Ligotée, séquestrée et torturée chez elle
Une dame de 79 ans a été victime d’une violente attaque samedi soir dans son appartement situé proche de Chêne-Bourg, dans le canton de Genève. Elle a été retrouvée blessée et ligotée dans sa baignoire.
Un voleur a pénétré samedi en fin de soirée dans l’appartement d’une dame de 79 ans situé dans la région de Chêne-Bourg, dans le canton de Genève.
L’homme a bâillonné, violenté et ligoté sa victime dans sa baignoire avant de s’emparer de son argent et des bijoux qu’elle portait.
La femme a été retrouvée séquestrée dans sa baignoire le visage tuméfié. Son cou comportait des contusions similaires à des tentatives d’étranglement, précise lundi le Ministère public de Genève dans un communiqué. La victime a raconté à la police que son agresseur l’a menacée avec un couteau et frappée jusqu’à ce qu’elle avoue le code de sa carte bancaire. Il l’a ensuite mise dans sa baignoire et monté le volume sonore de la télévision pour que ses voisins n’entendent pas ses appels à l’aide. C'est finalement l'un de ses voisins qui alertera tout de même la police.
Négation des faits
L’enquête lancée immédiatement a permis d’arrêter peu après les faits deux suspects originaires d’Afrique du Nord. Ils venaient d'effectuer un retrait avec la carte bancaire de la victime. Les deux individus se sont débattus lors de leur interpellation. Un policier a été blessé. Ils nient jusqu'ici être les auteurs des faits. Connus de la justice, les deux malfaiteurs sont en situation irrégulière en Suisse. Ils ont été prévenus de brigandage commis avec des circonstances aggravantes de l’usage d’une arme, de séquestration, d’usage frauduleux d’un ordinateur et de séjour illégal. La cruauté de leurs actes a aussi été relevée par la procureure.
Un voleur a pénétré samedi en fin de soirée dans l’appartement d’une dame de 79 ans situé dans la région de Chêne-Bourg, dans le canton de Genève.
L’homme a bâillonné, violenté et ligoté sa victime dans sa baignoire avant de s’emparer de son argent et des bijoux qu’elle portait.
La femme a été retrouvée séquestrée dans sa baignoire le visage tuméfié. Son cou comportait des contusions similaires à des tentatives d’étranglement, précise lundi le Ministère public de Genève dans un communiqué. La victime a raconté à la police que son agresseur l’a menacée avec un couteau et frappée jusqu’à ce qu’elle avoue le code de sa carte bancaire. Il l’a ensuite mise dans sa baignoire et monté le volume sonore de la télévision pour que ses voisins n’entendent pas ses appels à l’aide. C'est finalement l'un de ses voisins qui alertera tout de même la police.
Négation des faits
L’enquête lancée immédiatement a permis d’arrêter peu après les faits deux suspects originaires d’Afrique du Nord. Ils venaient d'effectuer un retrait avec la carte bancaire de la victime. Les deux individus se sont débattus lors de leur interpellation. Un policier a été blessé. Ils nient jusqu'ici être les auteurs des faits. Connus de la justice, les deux malfaiteurs sont en situation irrégulière en Suisse. Ils ont été prévenus de brigandage commis avec des circonstances aggravantes de l’usage d’une arme, de séquestration, d’usage frauduleux d’un ordinateur et de séjour illégal. La cruauté de leurs actes a aussi été relevée par la procureure.
dimanche 5 février 2012
Un futur procureur avec passé judiciaire
Olivier Jornot, qui occupera la place de procureur général du canton de Genève à partir du 1er avril, avait été condamné pour voies de fait en 2004 dans le canton de Vaud.
dimanche 29 janvier 2012
Les députés genevois de droite veulent serrer la vis au bonneteau
La majorité de droite du Grand Conseil genevois veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer complètement la pratique du bonneteau des trottoirs du canton.
La majorité de droite du Grand Conseil genevois veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer complètement la pratique du bonneteau des trottoirs du canton. Une motion en ce sens a été transmise vendredi soir au Conseil d’Etat.
La loi anti-bonneteau entrée en vigueur en juin dernier a fait nettement diminué le nombres de «joueurs», mais il en resterait encore une vingtaine, selon les motionnaires issus de tous les partis de droite. Des citoyens exaspérés se sont même regroupés en milice, a déploré le député PDC Vincent Maitre.
Il faut mettre fin à cette escroquerie qui ternit l’image de Genève, a-t-il poursuivi. Pour y parvenir, la motion demande au gouvernement de renforcer sa politique de répression. Elle propose une révision de la loi pour durcir les sanctions.
Le bonneteau est un jeu d’argent qui consiste à manipuler de petites boîtes, puis à faire deviner où se trouve une bille ou un autre petit objet. Les équipes sont composées de plusieurs personnes, dont de faux joueurs et des guetteurs. Les victimes sont souvent des touristes.
La majorité de droite du Grand Conseil genevois veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer complètement la pratique du bonneteau des trottoirs du canton. Une motion en ce sens a été transmise vendredi soir au Conseil d’Etat.
La loi anti-bonneteau entrée en vigueur en juin dernier a fait nettement diminué le nombres de «joueurs», mais il en resterait encore une vingtaine, selon les motionnaires issus de tous les partis de droite. Des citoyens exaspérés se sont même regroupés en milice, a déploré le député PDC Vincent Maitre.
Il faut mettre fin à cette escroquerie qui ternit l’image de Genève, a-t-il poursuivi. Pour y parvenir, la motion demande au gouvernement de renforcer sa politique de répression. Elle propose une révision de la loi pour durcir les sanctions.
Le bonneteau est un jeu d’argent qui consiste à manipuler de petites boîtes, puis à faire deviner où se trouve une bille ou un autre petit objet. Les équipes sont composées de plusieurs personnes, dont de faux joueurs et des guetteurs. Les victimes sont souvent des touristes.
samedi 21 janvier 2012
Epicerie braquée à Puplinge
Trois jours après l’attaque de la banque, le village a connu un nouveau vol très violent.
Ses agresseurs l’attendent sur le seuil de son arrière-boutique. Monsieur Lopes est en train de préparer les paniers garnis pour le prochain loto de son quartier. Ces deux clients qui n’en sont pas l’escortent à travers les rayons. Dans le dos, l’engin de poche à impulsion électrique et le bruit des décharges répétées; en face, l’arme blanche, à portée de coup. Le contenu de la caisse (billets et petite monnaie) est vidé dans un sac. «Bouge pas de là!» Les agresseurs disparaissent à pied sur une ultime menace.
«J’ai aussitôt composé le 117, poursuit l’épicier. A peine cinq minutes et la première patrouille était sur place, suivie de la brigade canine.» Des faits confirmés par cette même police; mais d’arrestation, point. Pour l’heure, trio d’un soir et tandem de l’autre courent toujours.
Ses agresseurs l’attendent sur le seuil de son arrière-boutique. Monsieur Lopes est en train de préparer les paniers garnis pour le prochain loto de son quartier. Ces deux clients qui n’en sont pas l’escortent à travers les rayons. Dans le dos, l’engin de poche à impulsion électrique et le bruit des décharges répétées; en face, l’arme blanche, à portée de coup. Le contenu de la caisse (billets et petite monnaie) est vidé dans un sac. «Bouge pas de là!» Les agresseurs disparaissent à pied sur une ultime menace.
«J’ai aussitôt composé le 117, poursuit l’épicier. A peine cinq minutes et la première patrouille était sur place, suivie de la brigade canine.» Des faits confirmés par cette même police; mais d’arrestation, point. Pour l’heure, trio d’un soir et tandem de l’autre courent toujours.
mercredi 18 janvier 2012
mardi 10 janvier 2012
Les policiers genevois font la grève
En conflit avec le Conseil d’Etat, les gendarmes genevois ont décidé de ne plus verbaliser les infractions minimes - de la circulation notamment.
Ils ont également décidé de ne plus faire d’heures supplémentaires en refusant les appels s’ils sont en congé.
Ils ont choisi de laisser tomber une partie du travail administratif pour être plus présents dans la rue.
Les membres de l’UPCP envisagent encore une grosse manifestation de rue, afin d’informer la population de leurs revendications. La date de celle-ci n’a pas encore été fixée.
Ils ont également décidé de ne plus faire d’heures supplémentaires en refusant les appels s’ils sont en congé.
Ils ont choisi de laisser tomber une partie du travail administratif pour être plus présents dans la rue.
Les membres de l’UPCP envisagent encore une grosse manifestation de rue, afin d’informer la population de leurs revendications. La date de celle-ci n’a pas encore été fixée.
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