Les genevois n'ont jamais eu aussi peur.
Drogue, cambriolage, agressions aux couteaux, attaque des buralistes, grand banditismes, vol de voitures, je pourrais continuer la liste est en forte augmentation. C'est pas un sentiment, c'est réel. La cause, la non justice. Des jours amendes pour un cambriolage avec agression, ça laisse songeur ...
L'honnête citoyen s'en offusque, le criminel en rigole encore. C'EST CELA LE VRAI PROBLEME, LE MANQUE DE JUSTICE !!!!
dimanche 16 octobre 2011
samedi 15 octobre 2011
Les joueurs de bonneteau sont toujours à Genève
dimanche 9 octobre 2011
La Criminalité importée se porte bien en Suisse
Lorsque des milliers de jeunes hommes venus d’Afrique ont commencé à débarquer sur l’île de Lampedusa, de bons esprits ont assuré que nous ne devions pas en redouter les effets en Suisse. C’est raté. A Genève, les jeunes Maghrébins en situation irrégulière sont en tête des délits commis.
Les statistiques, publiées par « Le Temps » samedi 27 août, montrent l’ampleur de ce que le quotidien appelle la « criminalité arabe » à Genève: pour le premier semestre 2011, 560 infractions contre le patrimoine ont été commises par des Algériens, des Marocains, des Tunisiens, des Palestiniens et des Irakiens. Qui se diversifient dans le trafic de stupéfiants et les cambriolages.
Les responsables de la mosquée du Grand-Saconnex confirment un afflux de jeunes Tunisiens « qui se tiennent mal ». Et rien n’indique que les choses vont s’améliorer, puisque l’afflux d’immigrants en Italie et en Grèce se poursuit. La Suisse est pour ces jeunes hommes, souvent illettrés, un fantasme où, leur a-t-on assuré, ils trouveraient logement, nourriture, travail et papiers. Ils y ont cru, poussés aussi par l’impossibilité de s’établir en Italie, où diverses mafias (italiennes, roumaines, albanaises…) « s’occupent » des nouveaux venus, tandis que la France s’efforce, sans succès, de contenir l’explosion de la criminalité maghrébine, notamment à Marseille, où certaines cités sont passées sous le contrôle des caïds.
La Suisse est un eldorado d’autant plus attractif que la société y est moins bien protégée que jamais: le nouveau Code pénal, et le nouveau Code de procédure pénale, qui font rire la planète entière, offrent aux délinquants des conditions de « travail » idéales. Entre la quasi-impossibilité de garder un délinquant en garde à vue, et des peines dérisoires toujours avec sursis, c’est un boulevard qui s’ouvre à la criminalité nomade.
Et on aurait tort de ne voir là qu’un problème genevois: tous les cantons frontaliers de l’Italie et de la France sont concernés, le Valais, Vaud et le Tessin sont en première ligne. Mais que faire? Le drame est qu’on ne peut pas faire grand chose. Nos lois ne changeront pas avant plusieurs années, et donc les juges devront prononcer longtemps encore des peines sans effets, tandis que les policiers passeront leurs journées à remplir des formulaires, plutôt qu’à agir sur le terrain.
Pour ne rien arranger, les expulsions d’étrangers deviennent quasiment impossibles, grâce au combat des milieux humanitaires: la Grèce n’offre pas le confort nécessaire pour qu’on y renvoie les requérants déboutés, et demain, ce sera le cas de l’Italie. Quant aux Algériens de Genève, ils sont tranquilles pour un bout de temps: le DFAE de Mme Calmy-Rey patauge dans l’élaboration d’un accord d’extradition avec l’Algérie, qui n’en finit pas d’échouer. Cette même Micheline Calmy-Rey qui par ailleurs engueule les autorités genevoises, parce que la criminalité transforme la Genève internationale en banlieue lyonnaise…
Tous les cantons frontaliers sont concernés. Le Valais, Vaud et le Tessin sont en première ligne.
Les statistiques, publiées par « Le Temps » samedi 27 août, montrent l’ampleur de ce que le quotidien appelle la « criminalité arabe » à Genève: pour le premier semestre 2011, 560 infractions contre le patrimoine ont été commises par des Algériens, des Marocains, des Tunisiens, des Palestiniens et des Irakiens. Qui se diversifient dans le trafic de stupéfiants et les cambriolages.
Les responsables de la mosquée du Grand-Saconnex confirment un afflux de jeunes Tunisiens « qui se tiennent mal ». Et rien n’indique que les choses vont s’améliorer, puisque l’afflux d’immigrants en Italie et en Grèce se poursuit. La Suisse est pour ces jeunes hommes, souvent illettrés, un fantasme où, leur a-t-on assuré, ils trouveraient logement, nourriture, travail et papiers. Ils y ont cru, poussés aussi par l’impossibilité de s’établir en Italie, où diverses mafias (italiennes, roumaines, albanaises…) « s’occupent » des nouveaux venus, tandis que la France s’efforce, sans succès, de contenir l’explosion de la criminalité maghrébine, notamment à Marseille, où certaines cités sont passées sous le contrôle des caïds.
La Suisse est un eldorado d’autant plus attractif que la société y est moins bien protégée que jamais: le nouveau Code pénal, et le nouveau Code de procédure pénale, qui font rire la planète entière, offrent aux délinquants des conditions de « travail » idéales. Entre la quasi-impossibilité de garder un délinquant en garde à vue, et des peines dérisoires toujours avec sursis, c’est un boulevard qui s’ouvre à la criminalité nomade.
Et on aurait tort de ne voir là qu’un problème genevois: tous les cantons frontaliers de l’Italie et de la France sont concernés, le Valais, Vaud et le Tessin sont en première ligne. Mais que faire? Le drame est qu’on ne peut pas faire grand chose. Nos lois ne changeront pas avant plusieurs années, et donc les juges devront prononcer longtemps encore des peines sans effets, tandis que les policiers passeront leurs journées à remplir des formulaires, plutôt qu’à agir sur le terrain.
Pour ne rien arranger, les expulsions d’étrangers deviennent quasiment impossibles, grâce au combat des milieux humanitaires: la Grèce n’offre pas le confort nécessaire pour qu’on y renvoie les requérants déboutés, et demain, ce sera le cas de l’Italie. Quant aux Algériens de Genève, ils sont tranquilles pour un bout de temps: le DFAE de Mme Calmy-Rey patauge dans l’élaboration d’un accord d’extradition avec l’Algérie, qui n’en finit pas d’échouer. Cette même Micheline Calmy-Rey qui par ailleurs engueule les autorités genevoises, parce que la criminalité transforme la Genève internationale en banlieue lyonnaise…
Tous les cantons frontaliers sont concernés. Le Valais, Vaud et le Tessin sont en première ligne.
samedi 8 octobre 2011
Le Ministère public genevois écimé
Les quatre premiers procureurs de l'institution ont annoncé leur démission une année après avoir été nommés.
Le vrai problème, c'est la politisation outrancière du système judiciaire... Comment voulez-vous garantir l'efficacité mais surtout l'impartialité des magistrats, lorsqu'ils sont élus en fonction de leur appartenance politique ?
Le système judiciaire se doit d'être dépolitisé, les magistrats et de manière générale le personnel devant être recrutés sur la base de leurs compétences, et non pas de leur couleur politique.
Et si l'on songeait sérieusement à placer Genève sous la tutelle de la Berne fédérale, au moins jusqu'à la fin du mandat du Conseil d'Etat actuel.
Le vrai problème, c'est la politisation outrancière du système judiciaire... Comment voulez-vous garantir l'efficacité mais surtout l'impartialité des magistrats, lorsqu'ils sont élus en fonction de leur appartenance politique ?
Le système judiciaire se doit d'être dépolitisé, les magistrats et de manière générale le personnel devant être recrutés sur la base de leurs compétences, et non pas de leur couleur politique.
Et si l'on songeait sérieusement à placer Genève sous la tutelle de la Berne fédérale, au moins jusqu'à la fin du mandat du Conseil d'Etat actuel.
Photo TDG |
jeudi 6 octobre 2011
Des Genevois miliciens
On connaît déjà la milice antibonneteau. On a eu nos croisés antidealers des Pâquis. Verra-t-on bientôt des troupes antimendiants et des unités antizizous à Genève?
Quand ces gens commencent à apparaître, c'est un aveu d'impuissance de la part des forces de l'ordre et des politiciens.
Quand ces gens commencent à apparaître, c'est un aveu d'impuissance de la part des forces de l'ordre et des politiciens.
Descente de police dans un centre de réquérent d'asile
Descente de police dans un centre de réquérent d'asile dans le canton de VD, le résultat, c'est que 44 personnes ont étés arrêtées pour détenir 232 grammes de cocaine, 22 grammes d’héroine, 60 grammes de marijuana, 42’000 francs en liquide, 3000 euros, 20 faux billets de 100 francs, 20 ordinateurs portables, et 216 téléphones portables. «Un des requérants en avait 23 à lui tout seul», précise la police.
pour moi, ces ressortissants là, c'est retour dans leur pays, que l'on accueille des vrais requérent, d'accord, mais les profiteurs, les dealeurs et les voleurs, non.
pour moi, ces ressortissants là, c'est retour dans leur pays, que l'on accueille des vrais requérent, d'accord, mais les profiteurs, les dealeurs et les voleurs, non.
mardi 4 octobre 2011
Une bijouterie braquée à la voiture bélier quai des Bergues
Une bijouterie braquée à la voiture bélier quai des Bergues.
La police était alarmée vers 4 heures, ce mardi matin, suite au cambriolage d'une bijouterie située au quai des Bergues. Quatre individus ont utilisé une voiture de tourisme, immatriculée en France, pour défoncer la vitrine de l'établissement.
La police était alarmée vers 4 heures, ce mardi matin, suite au cambriolage d'une bijouterie située au quai des Bergues. Quatre individus ont utilisé une voiture de tourisme, immatriculée en France, pour défoncer la vitrine de l'établissement.
Photo 20 minutes |
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Photo TDG |
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lundi 3 octobre 2011
Un voleur stoppé par des passants dans le quartier des Eaux-Vives
Dans le quartier des Eaux-Vives, un malfrat a dérobé une mallette contenant plusieurs milliers d’euros à un homme. Il a été pris en chasse et remis à la police par des passants.
Photo 20 minutes |
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